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C’est nombreux en présentiel et en visio-conférence que s’est tenue l’assemblée générale du 1 3 avril 2021 . La première partie de cette réunion syndicale a été consacrée à un point d'étape effectué avec les personnels médicaux et médico-sociaux et relatif à une demande de rendez-vous sollicité auprès de Madame la Présidente afin de pouvoir rouvrir le dialogue sur la question de la légitime revalorisation du régime indemnitaire. Le courrier transmis le 25 mars à Madame la Présidente et qui, depuis, a fait l'objet de nombreux rappels afin d'obtenir une audience n’a pas permis d’établir un contact.
Réunis nombreux le 30 mars dernier pour évoquer la situation spécifique de la mission de protection de l’enfance, notre assemblée générale a permis de revenir sur les thèmes abordés le 10 mars dernier avec la Collectivité mais aussi de faire un focus particulier sur la problématique générale d'absence de places dédiées aux enfants que nous avons le devoir de protéger.
Notre organisation syndicale tenait à s'adresser à vous suite à l'assemblée générale qui s'est déroulée le mardi 6 avril au matin en présentiel et en visio. Si, dans un premier temps, nous avons restitué le contenu de la dernière rencontre avec Monsieur le DRH sur les différents courriers envoyés et les demandes d'intégration personnelles déposées, un deuxième temps a été consacré à la construction du rapport de force afin bel et bien d'obtenir le rendez-vous avec Madame la Présidente.
L'assemblée générale du 23 mars 20121 a réuni nombreux les pro-fessionnels médicaux exerçant leurs fonctions tant au sein de laDPMISP, qu’au SMP ou au SMAPE. Les échanges se sont déroulés en présentiel et en visio–conférence. Cette réunion attendue par de nombreux professionnels, a été marquée par le constat partagé de l'épuisement des équipes de terrain et une volonté affirmée d'être entendus et reconnues comme personnels incontournables de la lutte contre la propagation de l'épidémie au service des agents et des populations vulnérables.
Nos organisations syndicales et une délégation de CESF, avons été reçues le vendredi 15 mars de 14h30 à 16h00 par Madame la Directrice de la DITAS, Monsieur le Directeur Adjoint, Madame la chef de service d’accompagnement et de protection des majeurs, Monsieur le chef de service des Relations sociales à la DRH accompagné de son assistante DRH. Cette rencontre avait été préparée avec les CESF présentes en AG et nos syndicats.
Les inégalités frappent toujours autant les femmes dans la sphère professionnelle et sociale, malgré tous les discours sur l'équité et les textes sur l'égalité entre les sexes. Au fil des années, les avancées obtenues en matière d'égalité entre les femmes et les hommes, au travail comme dans l'ensemble de la société, ne sont pas le fruit du hasard mais elles sont bien directement liées aux mobilisations sociales et aux luttes. L'égalité entre les femmes et les hommes n'est donc pas "naturelle".
Le gouvernement a rendu public en février 2021 la dernière mouture des textes sur la réforme des modes d'accueil (applicables dans le public, le privé et l'associatif). La CGT et d'autres organisations syndicales refusent les mesures envisagées (taux d'encadrement, accueil en surnombre, 5m² par enfant en zone dense, des directions de crèches sans expériences et du temps dédié à l’analyse de pratique).
C'est en petit comité que s'est tenue cette première assemblée générale 2021 de l'insertion en présence de quelques représentants de pôles d'insertions, de membres de la plate-forme d’informations RSA, ou même de la Direction d'Arenc... Cette rencontre a permis au personnel présent de bénéficier de la restitution de la rencontre du10 mars avec la collectivité et en particulier avec la Direction de l'insertion qui avait été interpellée sur les directives de contrôles et de suspensions accrus qui semblaient être prises par la collectivité.
L’Assemblée Générale du 1 1 mars nous a réunis nombreux, en présentiel et en Visio autour de la restitution du RDV du mercredi 10 mars avec notre administration (DRH, DITAS, Enfance, insertion). Elle a permis d’élaborer ensemble les outils nécessaires à la défense de l’avenir de l’action médico-sociale dans notre Département. Nous avons pu échanger et débattre sur nos conditions de travail actuelles et des orientations politiques d’action sociale et médico-sociale. L’accompagnement des publics les plus vulnérables restant au centre de nos débats.
Dans le cadre de la préparation de la future rencontre avec Madame la directrice de la DITAS prévue le 19 mars, les CESF (conseillères en économie sociale et familiale) se sont rencontrées afin d'élaborer ensemble l'ordre du jour qui sera présenté et débattu avec la direction. Avant de revenir sur les points élaborés ensemble, les collègues présentes ont fait une brève restitution de la réunion CESF du 26 janvier animée par Madame la Responsable du Service accompagnement et protection des majeurs et de Monsieur le Directeur Adjoint de l'action sociale. Cette réunion avait pour objet la présentation des dispositifs MAESF et MGBF.
Interpellé par certains agents de la MDS sur la question des taux de précarité actuellement en vigueur et des conditions d'exercice des agents depuis la pandémie, notre organisation syndicale a pu rencontrer une partie du personnel le 9 mars dans le cadre d'une assemblée générale. Notre échange a porté sur l'origine de la mise en œuvre des taux de précarité sur le Département, le cadre retenu pour l'établissement de ces derniers, leur traduction en montant et nous sommes revenus sur les récentes révisions qui ont permis la valorisation de la MDS des Flamants qui est ainsi passée du taux 1 au taux 2, mais aussi celles de Pont de Vivaux et Bonneveine qui sont passées du taux zéro au taux 1 .
La belle victoire enregistrée dans le dossier qui nous opposait depuis 2016 à la collectivité, dans le cadre de la suspension des semaines de détente pour une partie des personnels exerçant leurs fonctions hors MDS, est remarquable !
Petit rappel :
En 201 6, la collectivité avait décidé, à la surprise générale, de supprimer le bénéfice des semaines de détente pour une partie des personnels en les informant de sa décision par la seule modification apportée aux fiches techniques sur intranet. Après 4 ans de procédure, notre avocate nous a informés que le Conseil départemental venait de se voir condamné lors de l’audience en appel du 7 juillet 2020.
• La note de service du 30 mars 201 6 qui restreint les conditions d’attribution des congés détente aux agents du département est annulée au motif que seule l’assemblée délibérante du Conseil départemental avait compétence pour remettre en cause ce droit acquis.
Après 4 années de procédure au Tribunal Administratif, l’arrêt de la cour d’appel a été rendu le 15 juillet 2020 : nos organisations syndicales CGT et FSU ont gagné en justice le rétablissement des semaines de détente pour tous les agents qui s’en étaient vus privées depuis 2016 (A.S. de la DRH, pôles d’insertion, SMAP, SARO…). De ce fait, la note intranet du 30 mars 2016 qui modifiait les conditions d’attribution des semaines de détente est annulée avec effet immédiat.
Des agents contractuels du GIP (groupement d'intérêt public) de la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) des Bouches-du-Rhône, en grève reconductible, se sont rassemblés lundi 9
mars devant l'immeuble du Conseil Départemental au quai d'Arenc à Marseille à l'appel de la CGT du Département. 102 des 151 agents dépendant du GIP réclament la mise en place d'un plan
d'intégration pour devenir agents du Département, via la "création d'une maison de l'autonomie". Ces personnels à 80 % en grève demandent les mêmes droits que leurs collègues employés par le
Département et veulent à ce titre "sortir du GIP". Ils se sont mis en grève reconductible depuis ce lundi 9 mars et attendent des réponses de l'Administration.
Notre organisation syndicale a interpelé Madame Vassal, Présidente du CD13, sur la situation des personnels contractuels exerçant leurs fonctions au sein de la MDPH. Ces agents en poste pour certains depuis plus de 10 ans, ont pu démontrer leur engagement sans faille pour défendre la mission d’accueil d’accompagnement des personnes handicapées. Ces personnels au nombre de 83, exercent une mission de service public mais sont dotés d’un contrat de travail spécifique au GIP. Ils occupent des fonctions correspondant aux 3 catégories d’emploi A, B et C et la proportion de femmes est majoritaire.
La CGT a interpellé Madame Vassal, Présidente du Conseil Départemental sur la situation des adjoints administratifs exerçant leurs missions au sein des secrétariats des MDS à la DGAS. Ces agents de catégorie C – indispensables au bon fonctionnement des MDS – occupent les mêmes fonctions que leurs collègues de catégorie B qui bénéficient, eux, d’un déroulement de carrière bien plus intéressant.