Mardi 6 juin 2023... Encore des milliers dans la ruepour le retrait et l'abrogation du projet de loi !
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Ce mardi 6 juin, ce sont encore plus de 900 000 salariés, jeunes et retraités qui sont descendus dans la rue et ont fait grève. Un record après 6 mois de mobilisation. La colère s’est fait entendre dans plus de 250 rassemblements dont certains dans des lieux inédits comme à Saint-Marcellin (38) ou dans beaucoup d’autres lieux de proximité. La dynamique de cette journée revendicative s’illustre aussi par un plus grand nombre d’entreprises où les salariés ont décidé de faire grève sur tout ou partie de la journée, en liant, souvent, la contestation de la réforme des retraites avec des revendications sur les salaires et les conditions de travail.
Celui-ci est édifiant et les conclusions de l'enquête exigent désormais que tous les moyens soient mis en place pour sortir réhabilités de cette épreuve. Nous parlons d’épreuves, car après environ une centaine de droits d'alerte en 10 ans, deux dépôts de plainte, plusieurs saisines du Défenseur des droits, notre syndicat n'en demeure pas moins édifié à la lecture de ces 624 pages qui dénoncent avec beaucoup plus d'âpreté parce que documentées, de justesse et d'étayage, la situation de la protection de l'enfance dans notre Département. Aujourd'hui, l'urgence réside dans l'obtention d'un repositionnement ambitieux, volontaire et engagé, au chevet de la mission de protection de l'enfance, une mission noble et qui doit cesser d'être négligée.
Pour cela – au-delà des moyens en effectifs – l'intérêt premier de l'enfant doit guider toutes nos interventions et doit donner lieu à un nouveau schéma départemental enfance - famille. Nous sommes déterminés à voir évoluer la situation. Il n'est pas imaginable que notre collectivité puisse ignorer ce rapport sur l'état catastrophique de pilotage de la mission de protection, de la prise en charge des enfants confiés au Département et de la souffrance des professionnels qui désertent pour ne plus participer à la maltraitance institutionnelle.
Notre syndicat, comme les agents, sont volontaires pour reconstruire dans les Bouches-du-Rhône une protection de l'enfance digne de ce nom dont ils pourront peut-être demain être fiers.
Nous nous emploirons à aider à ce repositionnement aujourd’hui prioritaire... Le dialogue n'est pas fermé !
C’est en présence de Monsieur le Sous-directeur aux relations sociales, de Mesdames la Directrice adjointe gestion des équipements et espaces de travail, la Secrétaire générale de la DGAS, la Chef de service bâtiment sécurité, Monsieur le Directeur de la sûreté, un représentant du SDIS, de la Médecine préventive et notre architecte que s’est ouverte la séance. Lors de cette seconde délégation, le Service Qualité de Vie au Travail (SQVT de la DRH) nous a présentés l’analyse des plans et des implantations des bureaux des agents ainsi qu’un planning de relogement des 429 agents.
Le rapporteur public a suivi les préconisations du Préfet représentant de l'État dans le Département qui, par sa requête en annulation, nie toute l'argumentation apportée par notre Collectivité en matière de dangerosité, de pénibilité, de question des violences, de la charge physique ou mentale...
Cette après-midi du mardi 23 mai, les professionnels du travail social mobilisés pour l'obtention de moyens nécessaires à l'exercice de leurs missions. En attente de réponse suite au RDV de ce matin avec des membres de l'exécutif... ils sont mobilisés en DRH ! On ne lâche rien pour les MDS en difficulté, à l'Estaque, Pont-de-Vivaux, les Flamants, Aubagne, La Ciotat... et partout dans le Département !
Alors que l’inflation continue de flamber, que les profits du CAC 40 s’envolent et que la réforme régressive des retraites reste au cœur des préoccupations, Macron et ses soutiens essaient de passer à autre chose. Qu’ils se le disent : il n’y aura pas de retour à la situation antérieure comme si rien ne s’était passé! Les millions de grévistes et manifestants, la population très majoritairement hostile à la retraite à 64 ans, n’oublieront jamais le mépris obstiné du gouvernement et de sa minorité parlementaire.
On ne lâche pas jusqu'à l'obtention du CTI !
Lundi 22 mai s’est tenu le deuxième Comité Social Territorial de la mandature 2023/2026. Vous trouverez en pièce jointe notre déclaration liminaire qui a porté sur le contexte socio-économique national, la nécessaire poursuite de la lutte pour l'abrogation de la loi retraite (mobilisation nationale intersyndicale prévue le 6 juin prochain) et sur le contexte départemental et la mobilisation interne qui touche les MDS, pour certaines en grève depuis une semaine : Estaque, Pont-de-vivaux, Aubagne…
Depuis une semaine, nos camarades travailleurs sociaux et médico-sociaux qui exercent leurs missions au Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône et plus précisément au sein des Maison départementales de la solidarité de l'Estaque (quartier nord de Marseille), de Pont-de-Vivaux et d'Aubagne sont en grève reconductible pour dénoncer le manque de moyens. Ils revendiquent pour assurer la sécurité des enfants et leur protection la création de postes, la situation étant explosive et le remplacement de tous les postes vacants ! La grève est reconduite vendredi et la semaine prochaine. Le syndicat CGT ouvre une caisse de solidarité pour tous ces camarades mobilisés !
Comme chaque année depuis plus d'une décennie, le syndicat CGT du département invite les assistants et assistantes familiales à une journée champêtre à Martigues au parc de Figuerolles. Syndiqués ou non, vous êtes les bienvenus pour venir discuter entre vous et avec le syndicat CGT.
Au programme : pique-nique tiré du sac, apéritif du syndicat, jeux pour enfants, concours de boule, ferme pédagogique, petit train, promenade en poneys (certaines activités payantes).
Quand l’État devient laxiste avec la montée du fascisme, que des dirigeants cautionnent par un silence complice des exactions de plus en plus graves, que des élus détournent le regard de la montée de la peste brune, il est du devoir du peuple de résister ! Le 6 mai, deux jours avant la commémoration de résistants et déportés, la célébration de la victoire contre le régime hitlérien, une marche terrifiante de néo-nazis est autorisée par la préfecture de police en plein Paris ! C’est intolérable ! Les autorités ont revendiqué la liberté d’expression mais le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit. Alors que des cartons rouges ou des casseroles sont interdits ou confisqués, des drapeaux noirs arborant la croix celtique (nostalgie néofasciste d’Occident, d’Ordre Nouveau ou du GUD) sont tolérés. Le soir même, un concert de groupes se revendiquant aryens est organisé dans la salle Simone Veil, ministre rescapée de la Shoah, où furent constatés des saluts nazis. À chaque fois les réactions du gouvernement sont tardives et timides. [lire la suite >>>]
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