Dès l’annonce du recours au 49-3 par le gouvernement sur le projet de loi sur les retraites, véritable déni de démocratie, une onde de colères a provoqué de nombreuses actions spontanées ou organisées en quelques heures, afin de permettre à la population de continuer à faire entendre sa voix. Cependant, au lieu d’écouter cette colère, le gouvernement a pris la décision de l’ignorer, voire de la réprimer. Pas de limite dans le mépris !
La MDPH et son GIP seront dotés à partir du 14 avril prochain de deux instances représentatives et essentielles pour les agents : le Comité Social d'Adminstration et la Commission Consultative Paritaire. Le syndicat CGT déposera ses listes de candidate et candidats le 2 mars 2023. Deux modalités de scrutin sont organisées : le vote à l'urne sur place et le vote par correspondance pour lequel les agents recevront au plus tard le 24 mars 2023 le matériel de vote.
Jeudi 9 mars 2023 s'est tenu le premier comité technique de la mandature 2023 - 2026. Vous trouverez en pièce jointe une déclaration intersyndicale liminaire qui a porté sur la question du projet de réforme des retraites. Ce premier Comité social territorial (CST remplaçant les anciens CTP) s'est tenu au lendemain de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes qui a fait l'objet du traditionnel "cadeau" offert aux plus de 63 % de femmes de la collectivité.
Tous les jours, l'intersyndicale vous informera des actions menées, afin que vous les rejoigniez, car, pour rappel, nous pouvons débrayer à partir de 59 minutes, 2 heures, 3 heures ou la demi-journée pour rejoindre les mobilisations.
Jeudi 9 mars 2023, jour du Comité social territorial, les femmes de notre institution ont rendu à l'exécutif le "cadeau" fait en l'honneur de la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes... Ce même exécutif soutient la réforme des retraites !
Avec l'engagement de la grève reconductible dans plusieurs secteurs et plus de 3 millions de manifestantes et manifestants, la journée du 7 mars a été la plus forte depuis le début du processus de mobilisation engagé pour le retrait du projet de retraite à 64 ans voulu par Macron. Dans la Fonction publique, le nombre de grévistes a considérablement augmenté, en dépit des restrictions imposées à cette liberté fondamentale. Il se situe à des niveaux historiquement hauts, ce que même les chiffres officiels du ministère n’arrivent pas à masquer. La grève se poursuit aujourd’hui dans plusieurs secteurs sous des formes diverses, y compris dans la Fonction publique. La CGT Fonction publique salue les grévistes et appelle à prolonger et étendre le mouvement.
En ce 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, la mobilisation contre une réforme des retraites qui pénalise les femmes et le combat pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes est plus que jamais d’actualité. Exigeons le retrait du projet de réforme des retraites qui pénalise particulièrement les femmes ! Nos organisations le réaffirment, l’égalité professionnelle est une exigence de justice sociale et un vecteur de financement de notre système de protection sociale.
Les organisations syndicales et de jeunesse saluent la mobilisation de ces millions de travailleurs, jeunes, retraités qui, depuis le 19 janvier, expriment leur opposition à cette réforme des retraites. Ils et elles sont déterminés à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans et l’allongement du nombre de trimestres, ce qui aurait pour effet de faire aussi baisser plus rapidement leurs pensions. Malgré la propagande du gouvernement qui ne convainc pas du bien fondé de sa réforme, l’écrasante majorité de la population comme 90% des salariés font preuve de « bon sens » et rejettent cette réforme brutale, inacceptable et inutile.
© Conception de l'image : vbwdesign@live.fr
« Premièrement, il y a une responsabilité du gouvernement qui a choisi une procédure accélérée. Une fois cette procédure en place, il faut que les députés fassent avec. Le cœur de cette réforme, c’est l’article 7. Le fait qu’il n’y ait pas eu de débat et de vote sur les 64 ans pose un problème. On parle plus de l’ambiance de l’Assemblée nationale que du fond du problème (...) Il y a aussi le problème des députés qui n’ont pas voulu aller jusqu’à l’article 7. Il y avait une volonté de ne pas y aller pour s’approprier ce mouvement social et faire passer les organisations syndicales au second plan. (...) Il fallait mettre les députés devant leurs responsabilités. »
Le 24 février est une triste date anniversaire. Il y a un an, les troupes de Poutine agressaient l’Ukraine. Depuis, le conflit n’en finit pas, provoquant de lourdes pertes humaines et matérielles. Depuis un an, les missiles, les bombes et les mines antipersonnel dévastent l’Ukraine, faisant des dizaines de milliers de morts et de blessés, meurtrissant les populations civiles. Ces derniers temps, les combats s’intensifient et les prises de positions internationales se multiplient. La France va livrer des chars légers AMX-10 à l’Ukraine ; l’Iran fournit des armes à la Russie ; la Chine et l’Inde lui vendent des composants.
Depuis le 19 janvier dernier, par dizaines de milliers les fonctionnaires territoriaux et agents des établissements publics ont rejoint les manifestations et appels à la grève de l’intersyndicale. Le rejet de la réforme, le refus de tout allongement de la durée de cotisation et des deux ans de travail supplémentaires traversent l’ensemble de nos secteurs, filières, professions. Dans la continuité de l’appel de l’intersyndicale nationale du 11 février, qui ouvre la perspective de « mettre la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain » si le gouvernement devait rester sourd à notre revendication unanime de retrait de sa réforme, nos fédérations appellent l’ensemble des agents à préparer la mise à l’arrêt, la fermeture, de leurs services le 7 mars.
Placée sous le signe du dialogue et de l'échange, cette rencontre a permis à la CGT d'aborder un large ordre du jour sur des sujets aussi bien transversaux que spécifiques à chaque Direction. Notre syndicat a pu à cette occasion rappeler le travail important fourni autour de la mise en œuvre des 1 607 heures. Madame la Présidente s’est dite déterminée à voir les délibérations – remises en question par la requête en annulation de la Préfecture – validées dans le cadre de la bataille juridique qui s'ouvre à nous. Le syndicat CGT quant à lui poursuivra son engagement pour la reconnaissance de toutes les sujétions et ne s'interdit aucune action avec les personnels.
Ce 19 janvier, partout sur le territoire, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, et de jeunes se sont mobilisé-es mis en grève et/ou ont manifesté, dans le public comme dans le privé, contre la réforme des retraites de ce gouvernement. Cette réforme est inacceptable et va à l’encontre des intérêts de la population. Elle ne s'y trompe pas, puisque même avant d’être dans la rue plus de 600 000 personnes ont déjà signé la pétition intersyndicale.
Le gouvernement Macron-Borne, une fois de plus, veut faire passer une réforme des retraites ni juste, ni équitable. C’est la 8e fois en 30 ans que les gouverne-ments successifs attaquent les salarié·es avec les mêmes arguments fallacieux. Pourquoi vouloir nous faire travailler jusqu’à 64 ans minimum et augmenter la durée de cotisations ?
Le 15 décembre au soir, nous étions prévenus qu’un rendez-vous était fixé ce matin, 16 décembre, en DRH sur la question du temps de travail et plus particulièrement des dérogations votées le 30 mai dernier en Comité technique et validées dans le cadre du Conseil Départemental du 24 juin dernier. Les délibérations présentées en préfecture avaient fait l'objet d'observations en date du 5 août dernier.
En effet, de nombreux agents ayant vocation à pouvoir prétendre à un avancement au grade supérieur ou à une promotion dans une catégorie supérieure et bénéficiant d'un avis très favorable ont été écartés. Des directions entières ont été privilégiées, d'autres oubliées : les choix ne sont pas expliqués. Les orientations de la collectivité et sa politique de promotion demeurent intentionnellement floues et difficiles à accepter pour certaines filières.
Grâce aux mobilisations de décembre 2019 et janvier 2020, E. Macron n’a pas pu aller au bout de sa réforme des retraites visant à la mise en place d’un système à point. Il n’abandonne pas et revient avec une réforme paramétrique mais dont la finalité reste identique pour les travailleur·ses: travailler plus pour gagner moins… Comme en 2019, Il n’y a pas d’urgence à réformer. le gouvernement ne peut toujours pas défendre une réforme en expliquant qu’elle viendrait sauver un système en déficit car comme en 2019, il n’y a pas de problématique de financement à court et moyen terme selon toutes les projections existantes du Conseil d’orientation des retraites (COR).
C'est nombreux et impliqués que les agents de la filière administrative de catégorie A, B ou C se sont réunis en Assemblée Générale mardi dernier 15 novembre. Si quelques agents des MDS étaient présents, ce sont ceux de la Direction des Routes, de la Direction des finances, de la DRH, de la Direction de l'Insertion, de la DME, de la DPMISP, ou de la Culture qui ont largement contribué à mettre à jour les leviers incontournables d'une revalorisation indispensable. La perte du pouvoir d'achat, le niveau d'inflation inégalé et le nécessaire rééquilibrage avec la filière technique ont été au cœur des discussions.
Nous avons appris avec tristesse le décès brutal d'Hélène Porte, médecin gynécologue, le 4 novembre dernier, retraitée du service de PMI au Conseil départemental des BdR mais toujours en activité (vacations pour la collectivité et participation à la campagne de vaccination Covid-19). Elle fut longtemps élue CGT de catégorie A en CAP, toujours à l'écoute de nos collègues, toujours disponible. Nous garderons d'Hélène le souvenir d'une amie aux grandes valeurs humaines. Ses obsèques ont eu lieu le 10 novembre en présence de sa famille, de ses amis et d'une délégation de notre syndicat CGT.
Mercredi 9 novembre, se tenait le dernier Comité Technique de la mandature 201 8-2022. En pièce jointe vous trouverez notre déclaration liminaire. À l'ordre du jour de ce Comité technique de nombreux dossiers dont ceux qui s'inscrivent dans une revalorisation du régime indemnitaire, la concrétisation desengagements de septembre pour contribuer à contenir la chute du pouvoir d'achat, un état des lieux de notre collectivité à travers l'étude du Rapport social unique, du rapport Égalité hommes/femmes et la validation des règlements spécifiques Temps de travail, en marge de 2 réorganisations.
Le 2 novembre s'est tenu le Comité de suivi ARTT, qui présentait avant validation en Comité technique du 9/11/2022 les 49 règlements spécifiques de notre collectivité. Ces règlements spécifiques concernent environ 3 000 agents, tant dans la filière culture, environnement, DGAS, les routes, le laboratoire départemental.… et certains agents de la filière administrative. Malheureusement sur le dossier du SCAM (accueil), le personnel n’a pas été entendu car l’aménagement du temps proposé n’est pas en adéquation avec une vie familiale. Quant aux ouvriers-forestiers et à la garde à cheval le DRH s’est engagé à les recevoir rapidement. Au vu du mode de vote de ce dossier il n’a pas été possible de voter favorablement ; nous avons dû nous abstenir au vu des personnels oubliés malgré notre engagement, notre travail de collaboration avec la DRH et les services concernés.
Le 6 septembre dernier notre collectivité consultait les organisations syndicales, sur fond de campagne départementale pour le pouvoir d’achat des populations bucco-rhodaniennes, celui des personnels départementaux, pour prendre connaissance de nos revendications, pour améliorer ou maintenir la revalorisation du montant de la participation à la protection sociale complémentaire des agents du Département.
Alors qu’une véritable campagne de diffamation menée par de nombreux médias nationaux comme locaux, attaque dans leur intégrité et ce à grand renfort de fausses affirmations et de contre-vérités les personnels du Conseil départemental des bouches du Rhône avec le syndicat CGT dénoncent une manipulation de l'opinion publique orchestrée par un gouvernement dont l'objectif premier est la destruction des services publics et la suppression des fonctionnaires qui le servent et sur lesquels on jette aujourd’hui le discrédit favorisant divisant les salariés en opposant les salariés du public et du privé
Comme vous le savez nos organisations syndicales sont mobilisées autour de l'accès au Ségur (CTI, Complément de traitement indiciaire) depuis plusieurs mois. Après que le gouvernement a fait paraître un décret le 28 avril dernier stipulant l'octroi d'une prime de revalorisation, nos organisations syndicales ont œuvré au plan national pour obtenir l'attribution d'un complément de traitement indiciaire large pour tous les agents exerçant dans les métiers du médico-social. Le gouvernement a d’ailleurs accepté de revoir sa copie sous la pression.
Ce site n'utilise pas de cookies et ne recueille pas de données sur ses utilisateurs (voir la politique de confidentialité pour le contact).